Le Sonneur descend au Tsuba Hôtel pour son exposition « Rear Windows »
À deux pas des Champs Elysées, le Tsuba Hôtel donne carte blanche au street artist Le Sonneur à l’occasion de l’exposition « Rear Windows » du 15 novembre 2018 au 15 mars 2019.
Dans un style minimal, entre street art, art contemporain et poésie, Le Sonneur prend possession des lieux, joue avec l’imaginaire de l’hôtel et en détourne les codes habituels. Il nous raconte les histoires de ces amoureux qui y passent, de ces inconnus qui s’y croisent.
Il capture l’intime par les trous de serrure, par une fenêtre ou une porte entrebâillée, et le dévoile dans un travail romantique et voyeur.
Dès l’entrée puis dans le lobby, avec ses photos et ses dessins. Devant l’ascenseur avec sa plaque gravée « Mon Amour ». Au coin de la cheminée, avec cette porte imaginaire qui s’ouvre avant de disparaître sous vos yeux. Au détour d’un couloir avec ces sonnettes romantiques ou ses door hangers « Love Me » ou « Kiss Me » qui détournent les classiques accroche-portes des hôtels. Ou sur les façades de la cour intérieure qu’il habille de ses silhouettes rouges et noires.
À PROPOS DE LE SONNEUR
Le Sonneur est un artiste basé à Paris. Mêlant street art et art contemporain, il transforme le banal en poésie. Il utilise différentes techniques artistiques telles que l’installation, la photographie, le dessin, la vidéo ou la sculpture. Ses œuvres peuvent être vues dans la rue et en galeries à Paris, en France et à l’étranger où il expose régulièrement, de Tokyo à Dubaï en passant par Melbourne et Berlin.
Entre romantisme et ironie, Le Sonneur questionne notre condition urbaine et nos relations aux autres dans la ville. Toujours situées sur le pas des portes ou les fenêtres, ses œuvres sont des entre-deux. Elles dévoilent l’envers du décor, nous parlent d’amour et d’espoir, d’aliénation et de liberté, d’anonymat et de solitude, d’intimité et de voyeurisme. Chaque porte, chaque fenêtre cache ses propres secrets et Le Sonneur les révèle, nous raconte ses histoires et nous laisse imaginer les nôtres.
[Source : communiqué de presse]
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